Effectivement il est temps de considérer l'IT comme une source d'amélioration de la productivité, non pas seulement pour les métiers, mais aussi pour les membres de l'équipe IT eux-mêmes.
Il est aujourd'hui évident que cette évolution met la pression sur les compétences. Mais aussi sur les délais de mise en œuvre des nouveaux services à déployer. Certains analystes tirent d'ailleurs la sonnette d'alarme à ce sujet.
Les premiers impacts se voient aujourd'hui dans les phases de tests parfois bâclées pour respecter les délais en question. Dommage c'est souvent dans ces phases de tests que les interactions avec les métiers et donc les utilisateurs finaux dudit service en question, est la plus importante.
Ce qui impacte forcément la qualité, quitte à devoir faire un nouveau "sprint" pour corriger les bugs rencontrés lors du précédent. Ce qui alourdit la dette technique du projet, crée la défiance de la part des utilisateurs.
Aujourd'hui, c'est près de 28% des projets informatiques qui échouent.
Et autant de dépenses IT faites en dehors du budget de la DSI, donc dans les métiers.
Comme tous les autres départements de l'entreprise, la DSI s'adapte aux vagues technologiques. Comme c'est le cas avec les grandes vagues depuis le Mainframe du client-serveur, du client léger, de l'internet et maintenant du cloud.
Ces vagues de technologies offrent un panel de possibilités quasi infinies aujourd'hui. Ne serait-ce que pour donner un exemple, la plateforme AWS comportent une classification d'environ 20 classes de services différents, chaque classe pouvant contenir plus de 1 000 objets référencés, utilisables sur un claquement de doigts....ou d'un clic de souris. Chaque année c'est près de 20% de ces services qui évoluent, pour autant qui sont rajoutés et d'autres retirés, regroupés...
Cette richesse technologique engendre la complexité. Qui peut se targuer de connaitre le catalogue complet d'un fournisseur cloud ? Et en connaitre les rouages de leur intégration pour en faire un tout déployable et exploitable par les utilisateurs finaux, ou afin de leur apporter une amélioration de service ou de productivité.
En dehors du cloud, la bataille du poste client n'est pas non plus gagnée par la DSI. La pandémie qui nous a amené à renforcer les process autour du télétravail a démontré les soucis de sécurité ou d'accessibilité à certaines applications ou données, engendrés par ce mode de connexion à distance.
Et l'on découvre que 37% des logiciels installés ne sont pas utilisés.
Ce qui représente un cout de 250 € par poste par an !
La réponse est dans la question : Bien sur que ce trio doit fonctionner !
Et d'ailleurs, il existe de nombreuses preuves de succès .... pour autant de non satisfaction... et une dose d'échec.
A partir de nombreux témoignages, il est possible de lister quelques éléments clés de réflexion :
Renforcer la formation, respecter l'engagement dans l'accompagnement pour justement aider les DSI à valoriser leur savoir-faire et permettre la confiance avec les métiers.
C'est aussi pour cela que nous avons crée une nouvelle forme de démarche. Notre ZenExpertise en quelque sorte.
Pour vous permettre une forme de ZenITude face aux challenges et enjeux auxquels nous êtes confrontés quotidiennement. Découvrez dans cette vidéo ce qui rend notre proposition de valeur différente !